De plus gros piafous, moins agités, font trempette
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ou cherchent ombre, comme ce coliou rayé
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ou grand soleil comme ce pygargue vocifère qui nous offre un point de vue assez atypique, n'est-il pas ?
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Ce seront nos deux dernières photos d'oiseaux en Éthiopie en 2018.
Nous espérons qu'il y en aura d'autres dans d'autres voyages éthiopiens. Car même si la narration de nos diverses tribulations vous aura paru propre à nous décourager, il n'en a rien été.
Une fois retirée la part d'exagération comique dans le récit qui possiblement, même si étonnamment, aurait pu se rajouter à mon texte, à l'insu de mon plein gré, bien sûr, une fois mis en rapport le coût et la qualité de nos hébergements et repas, une fois tenu compte que c'était notre premier safari éthiopien, et sans même parler, si j'ose cette prétérition, de la beauté des paysages, de l'impression de sécurité (aux accidents de la route près) ressentie, de la richesse de l'avifaune, nous tirons un bilan bien mieux que "globalement positif". Et puis il y a le café. Le café éthiopien...
À propos de café, nous voici à Addis Abeba, Habdamu nous fait faire un détour avant de nous déposer à l'aéroport, il nous conduit là où il a besoin, nous dit-il, de chercher quelque chose... Le quelque chose, c'est deux paquets du meilleur café éthiopien qu'il nous offre... Émotion, émotion, nous savons ce qu'il gagne, nous devinons bien ce que cela représente dans son budget, nous sommes très émus.
Une raison supplémentaire d'aimer l'Éthiopie.
THAT'S ALL, FOLKS !